NUEES A LIEGE BELGIQUE

NUEES A LIEGE BELGIQUE

 

Nuées à Liège Belgique 1989

Nuées à Liège en Belgique

L'importance de la vague belge !!!

Pourquoi est-elle très importante !!

Extrait

En partenariat avec Ciel & Espace et le CNES.

En trente ans d'activité, le groupe chargé au Cnes de collecter des informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés,

s'est livré à un travail exceptionnel.

Aujourd'hui, et pour la première fois, ses archives sont mises en ligne pour permettre aux chercheurs

et au public de disposer de

toute l'information rassemblée au cours du temps par la gendarmerie et les enquêteurs.

Le responsable du Geipan explique comment travaille ce service et présente la façon dont sont classées les différentes affaires.

Il témoigne de la difficulté qu'il y a à rassembler, en toute objectivité, sans les interpréter, les pièces de ce dossier.

Enfin, il appelle chacun à garder raison : "il n'y a pas de secret ; on ne cache rien" !

En partenariat avec Ciel & Espace et le CNES.

Pour les Américains, ce sont des UFO (unidentified flying object) ; pour les Français des PAN (phénomènes aérospatiaux non identifiés) et pour le public, le cinéma et la presse, ce sont des Ovnis...

D'étranges "soucoupes volantes" dont l'histoire débute le 25 juin 1947 dans l'état de Washington et qui, en pleine

période de guerre froide et de folles spéculations sur les technologies aéronautiques,

vont envahir le monde à la vitesse de la lumière.

A travers les célèbres affaires de Roswell, aux Etats-Unis, de Cussac, dans le Massif Central, et de Trans-en-Provence,

où l'on passe d'observations aériennes à des traces au sol, le sociologue Pierre Lagrange interroge les faits et décrit les

acteurs en présence.

Les commissions d'enquête, les "ufologues", les scientifiques impliqués et le public dont il ne croit plus en l'irrationalité.

 

LIEGE SAINT LAMBERT

Nuées lumineuses Liège en Belgique depuis novembre 1989

 

Saint Lambert est le patron du diocèse de Liège.

Une partie de ses reliques est conservée, à la cathédrale de Liège, dans son buste de grandeur naturelle, œuvre d'art superbe du

temps d'Erard de la Marck ; d'autres localités, comme Rome, Fribourg en Bade et Berbourg, dans le grand-duché de Luxembourg,

disputent à la ville de Liège l'honneur de posséder sa tête.

 

Un des premiers soins de saint Lambert fut de faire la visite pastorale de son diocèse, car, pendant les sept années de son exil,

ses diocésains avaient beaucoup souffert des troubles civils, de l'intrusion de Pharamond et des superstitions païennes.

La Taxandrie surtout fut le théâtre de son zèle.

L'idolâtrie n'y était pas encore extirpée

et des superstitions païennes y avaient repris le dessus.

Saint Lambert y porta les lumières de la foi au péril de sa vie

et détruisit les temples des idoles. (V. Gesta (prima).

 

Selon ces deux écrivains, c'est dans un banquet donné à Jupille par Pépin d'Herstal

que le saint aurait refusé de bénir la coupe de la concubine ;

irritée, celle-ci aurait alors dépêché son frère pour le tuer dans sa retraite de Liège.

C'est là, en effet, qu'il fut massacré, au moment où, revenu de la chapelle dans laquelle il avait prié avant le jour, il cherchait

un peu de sommeil sur sa couche.

Au premier moment de l'agression, par un mouvement instinctif,

il saisit son épée et fit mine de vouloir se défendre ;

mais bientôt il la jeta, déclarant qu'il s'en remettait à Dieu, et exhorta les siens à se préparer à la mort.

 La plupart, furent, en effet, immolés ; lui-même, pendant qu'il était prosterné en oraison,

fut percé d'un trait par un individu qui avait escaladé le toit de sa demeure.

Lorsque les assassins se furent retirés, ceux de ses disciples qui avaient échappé à la, mort transportèrent ses restes

dans une barque à Maestricht, où, au milieu du deuil de la population, il fut enterré dans l'église Saint-Pierre hors la ville,

aujourd'hui démolie.

À l’évêque Lambert succéda son disciple

— et peut-être même son parent — Hubert (saint Hubert),

membre d’un lignage très proche des Pépinides et vraisemblablement apparenté à ces derniers.

L’attentat de Liège semble finalement avoir servi les intérêts de Pépin II en lui permettant de renforcer le contrôle qu’il exerçait sur

l’évêché mosan.

Hubert fit transférer les reliques de Lambert de Maastricht à Liège, où il fonda une infrastructure sacrée pour les abriter.

En effet, un culte s’était installé sur place,

et l’homme du Moyen Âge croyait

que c'était Yahweh qui désignait les lieux de culte.

 Cela s’explique peut-être aussi par la proximité géographique des palais de Herstal et Jupille de la famille de Pépin, qui devait vouer un culte important au saint.

Toujours est-il que le VIIIe siècle marqua un tournant pour Liège, qui devint rapidement une agglomération importante.

Il est par exemple significatif qu’à partir de la seconde moitié du VIIIe siècle,

la ville de Liège soit qualifiée de vicus publicus et

que Charlemagne y ait célébré la fête de Pâques en 770.

 

La vision de saint Hubert

Depuis le XVe siècle on dit que le seigneur Hubert était si passionné de chasse qu'il en oubliait ses devoirs.

La légende rapporte

qu'il n'avait pu résister à sa passion un Vendredi saint, et n'ayant trouvé personne pour l'accompagner,

était parti chasser sans aucune compagnie.

À cette occasion, il se trouva face à un cerf extraordinaire [4].

En effet, celui-ci était blanc et portait une croix lumineuse au milieu de ses bois.

Hubert se mit à pourchasser le cervidé mais celui-ci parvenait toujours à le distancer sans pour autant se fatiguer.

Ce n’est qu’au bout d’un long moment que l'animal s’arrêta

et qu’une voix tonna dans le ciel en s’adressant à Hubert en ces termes :

Hubert! Hubert! Jusqu'à quand poursuivras-tu les bêtes dans les forêts?

Jusqu'à quand cette vaine passion te fera-t-elle oublier le salut de ton âme ?

Hubert, saisi d'effroi, se jeta à terre et humblement, il interrogea la vision :

Seigneur ! Que faut-il que je fasse ?

La voix reprit :

Va donc auprès de Lambert, mon évêque, à Maastricht. Convertis-toi.

Fais pénitence de tes péchés, ainsi qu'il te sera enseigné.

Voilà ce à quoi tu dois te résoudre pour n'être point damné dans l'éternité.

Je te fais confiance, afin que mon Église, en ces régions sauvages,

soit par toi grandement fortifiée.

Et Hubert de répondre, avec force et enthousiasme :

Merci, ô Seigneur. Vous avez ma promesse.

Je ferai pénitence, puisque vous le voulez.

Je saurai en toutes choses me montrer digne de vous!

 

Ce n'est qu'en 911 que l'on voit apparaître pour la première fois "civitas leodio" attestant du fait

que Liège est considéré comme un siège d'évêché.

L'époque la plus probable pour ce transfert est celle des 15 premières années du règne de Charlemagne,

période où le futur empereur séjournait régulièrement à Herstal,

une localité proche de quelques kilomètres du lieu de l'assassinat de saint Lambert.

Godefroy de Bouillon (° vers 1058 ? - + 18 juillet 1100 à Jérusalem) est un chevalier franc

et le premier souverain chrétien de Jérusalem,

mais qui refusa le titre de roi pour celui, plus humble,

d'avoué du Saint-Sépulcre.

Fils de sainte Ide d'Ardenne, héritière des ducs de Basse-Lotharingie et d'Eustache II, comte de Boulogne, du royaume de France,

Godefroy de Bouillon est un descendant de Charlemagne

 et, comme son illustre ancêtre, un personnage de légende

Il est au premier rang lors de la prise de Jérusalem en 1099

(les deux premiers sont Letold et Gilbert de Tournai, puis vient Godefroy suivi de son frère Eustache).

La couronne de roi de Jérusalem lui est proposée après la prise de la ville,

mais il la refuse,

arguant qu'il ne peut porter de couronne d'or là

Jésus Christ a dû porter une couronne d'épines.

Il accepte le titre d'Avoué du Saint-Sépulcre et se contente de la charge de baron.

Ce choix signifait qu'il considère la Terre sainte, Jérusalem avant tout,

comme la propriété de Yahweh.

Il se positionne ainsi en serviteur, en défenseur de l'Église.

Il est nominalement seigneur du Saint-Sépulcre tout en se maintenant sous l'autorité ecclésiastique.

Son titre lui confère les responsabilités suivantes :

il doit d'abord avec ses vassaux garder Jérusalem et le tombeau du Christ, puis distribuer des terres aux chevaliers,

conquérir et pacifier les villes aux alentours, rendre la justice et pérenniser l'économie locale.

Il donne à ses nouveaux États un code de lois sages,

connu sous le nom d’Assises de Jérusalem.

Charlemagne : Charlemagne est le plus illustre représentant des souverains de la dynastie carolingienne, qui lui doit d'ailleurs son

nom. Petit-fils de Charles Martel, il est fils de Pépin le Bref et de Berthe de Laon dite « au Grand Pied ».

Selon certains, il aurait vu le jour en Austrasie à Herstal ou à Jupille[18], où réside le plus souvent[19] son père Pépin le Bref

(Herstal et Jupille se situent aujourd'hui dans la banlieue nord de la ville de Liège en Belgique

 et furent à une époque des lieux de résidence privilégiée de certains ancêtres des Carolingiens, notamment Pépin le Gros, le père de

Charles Martel)[20].

Pépin II de Herstal, dit Pépin le Gros ou encore Pépin le Jeune[1] (né vers 645 - mort le 16 décembre 714 à Jupille), est maire du

palais d'Austrasie. Il est le fils d'Ansegisel (lui-même fils d'Arnoul de Metz), et de Begge d'Andenne, fille de Pépin Ier Le Vieux.

 

De plus, il délaisse son épouse Plectrude pour sa maîtresse Alpaïde et les partisans de chaque femme divisent la cour.

Cette union est à l'origine de l'assassinat de Lambert,

 évêque de Tongres-Maastricht, futur saint Lambert, patron de Liège.

En septembre d'une année sur laquelle les historiens ne parviennent pas à se mettre d'accord, 696 ou 705, Pépin II convie l'évêque dans son palais de Jupille, près de Liège, dans le but de lui demander de l'unir à Alpaïde.

Pépin venait de répudier Plectrude mais l'évêque avait eu vent qu'un enfant était né hors mariage.

Il refusa donc de les marier.

  Quelques jours plus tard, le 17 septembre, Lambert et ses neveux, Pierre et Andolet, sont assassinés par Dodon, frère d'Alpaïde,

en représailles à son refus.

Albert d'Aix écrit ceci peu après 1100 à propos de Godefroy de Bouillon lors de la prise de Jérusalem en juin 1099 :

« tandis que tout le peuple chrétien […] faisait un affreux ravage des Sarrasins,

le duc Godefroy, s'abstenant de tout massacre, […]

dépouilla sa cuirasse et, s'enveloppant d'un vêtement de laine,

sortit pieds nus hors des murailles

et, suivant l'enceinte extérieure de la ville en toute humilité, rentrant ensuite par la porte qui fait face

à la montagne des Oliviers, il alla se présenter devant le sépulcre de notre seigneur Jésus-Christ, fils de Dieu vivant,

versant des larmes, prononçant des prières, chantant des louanges de Yahweh

et lui rendant grâces pour avoir été jugé digne de voir ce qu'il avait toujours si ardemment désiré. »

On peut également vanter la simplicité de Godefroy.

Durant le siège d'Arsouf, les cheiks arabes vinrent déposer des offrandes auprès de Godefroy,

et le trouvent assis à même le sol dans sa tente, non pas entouré de soieries

mais accroupi sur de la paille.

Les cheiks s'émerveillent alors de la modestie du plus grand des princes francs.

Godefroy, mis au courant de leurs commentaires,

leur répond que

« l'homme doit se souvenir qu'il n'est que poussière

et qu'il retournera en poussière. »

 

Nuées lumineuses Liège en Belgique depuis novembre 1989

 

 

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