http://fr.wikipedia.org/wiki/Saturne_(mythologie)
Saturne par Polidoro da Caravaggio au XVIe siècle
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dougga
Mosaïque de l’aurige trouvée à Dougga et déposée au musée national du Bardo
La cité possède un cirque romain destiné aux courses de chars mais celui-ci n’est plus guère
Latrines des thermes des Cyclopes
Trois espaces thermaux ont été totalement dégagés alors qu’un autre est en cours de fouilles. Parmi ces quatre thermes, l’un est inclus dans une maison privée, les « thermes de la maison à l’ouest du temple de Tellus ». Deux autres, les thermes d’Aïn Doura et les thermes longtemps dénommés « thermes liciniens », sont des lieux ouverts au public au vu de leur superficie. Le dernier lieu, les thermes des Cyclopes, est plus complexe à interpréter.
Thermes des Cyclopes
Au cours du dégagement des thermes des Cyclopes a été découverte la mosaïque des cyclopes forgeant les foudres de Jupiter qui est exposée désormais au musée national du Bardo. Des latrines en très bon état de conservation y sont également visibles. L’édifice a été daté du IIIe siècle de par l’étude de cette mosaïque.
Cyclopes forgeant les foudres de Jupiter
Signe de Tanit
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le signe de Tanit est un symbole anthropomorphe présent sur de nombreux vestiges archéologiques d’origine punique.
-
Édicule funéraire gréco-punique de Marsala, avec signe de Tanit peint
Représentations
Le symbole a fait l’objet de représentations diverses mais pour lesquels on peut relever des constantes : un triangle, une forme linéaire avec parfois les deux branches relevées et un disque au sommet.
Les premières représentations du signe furent signalées sur des stèles mises au jour sur le site de Carthage à partir du début du XIXe siècle. Les fouilles archéologiques ont par la suite mis au jour des représentations sur d’autres supports comme les mosaïques ou même sur des céramiques.
Les fouilles des tophets de Carthage, de Sousse et de Motyé ont mis en évidence la diffusion particulièrement importante du symbole dans le bassin occidental de la mer Méditerranée, même si le peu de découvertes sur la terre phénicienne primitive n’est peut-être due qu’à une occupation continue des sites rendant plus difficiles les recherches[1].
-
Stèle du tophet de Carthage
-
Stèle du tophet de Carthage
-
Stèle du tophet de Carthage
-
Édicule funéraire gréco-punique de Marsala, avec signe de Tanit peint
Signification
Le symbole appelé signe de Tanit a été mis en relation avec la déesse du même nom, parèdre de Ba'al Hammon dans le panthéon punique dès les premières découvertes. La proximité du signe avec la croix ansée égyptienne (ânkh) a été mise en avant, la liaison de la Carthage punique avec la civilisation pharaonique pouvant corroborer cette origine.
Tanit
Tanit est assimilée à Astarté chez les phéniciens, Ishtar chez les babyloniens, Innana chez les summériens, Vénus chez les romains, Aphrodite chez les grecs, Isis chez les égyptiens, Anaïtis chez les libyens, Dercéto chez les syriens, et Mylitta chez les chaldéens d'Assyrie.
Tanit est une déesse d'origine berbère reprise par les phéniciens ne chargée de veiller à la fertilité, aux naissances et à la croissance. Elle était la déesse tutélaire de la ville de Serepta et son culte prit de l'ampleur à Carthage où elle était nommée Oum. Elle était la parèdre du dieu Ba'al Hammon.
Tanit est dénommée Tanit péné Baal (littéralement « face de baal ») après environ 400 av. J.-C., ainsi que Tinit[1] ou Tinêt.
Tanit a été interprétée par les Romains comme une forme particulière de Junon : Iuno Caelestis, vite devenue Caelestis.
Selon certaines sources, Didon reine de Carthage serait un avatar de Tanit.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%82nkh
Ânkh
L'ânkh ou croix ansée (☥ unicode U+2625) est le hiéroglyphe représentant le mot ˁnḫ, qui signifie « vie ». C'est un attribut des dieux égyptiens qui peuvent le tenir par la boucle, ou en porter un dans chaque main, les bras croisés sur la poitrine. Ce symbole était appelé crux ansata en latin (« croix ansée »).
Ânkh
Unicode
Code |
U+2625 |
Nom |
Ânkh croix égyptienne |
Dans l'art égyptien
L'ânkh est utilisé fréquemment dans l'art égyptien, en particulier dans les peintures des tombes ; il apparaît souvent au bout des doigts d'une divinité, dans des images montrant les divinités de l'au-delà faisant le don de vie à la momie de la personne défunte.
Dans l'art amarnien, la croix ansée est portée par les rayons solaires (terminés par des mains), symbolique du soleil dispensant la vie sur Terre.
Ce symbole était souvent porté comme amulette par les Égyptiens, soit seul, soit en association avec deux autres hiéroglyphes, le sceptre ouas signifiant « force » et le hiéroglyphe symbolisant la « santé »,
ˁnḫ(=w), wḏȝ(=w), snb(=w) étant une formule d'eulogie dans l'Égypte antique.
Les miroirs étaient souvent faits en forme d'ânkh.
Dans la culture populaire moderne
Crux ansata in Codex Glazier
On trouve couramment l'ânkh comme logo rappelant l'Égypte antique.
http://ankhe.skyrock.com/2916787195-Croix-de-Vie-Ankh.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Aton
COMMENTAIRES PERSONNELS : SOUS LE SOLEIL PEND L'ANKH
SUITE !