- Accueil
- LES AGISSEMENTS ET IMITATION DU JESUS CHRIST DU SACRE COEUR !! LE DIABLE à L'OEUVRE !
- KÂLI ? UNE DES SEPT LANGUES DE FEU DU DIEU AGNI ??? LES 7 LANGUES DE FEU DU DIEU AGNI ???
KÂLI ? UNE DES SEPT LANGUES DE FEU DU DIEU AGNI ??? LES 7 LANGUES DE FEU DU DIEU AGNI ???
http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A2l%C3%AE
Kâlî
Kâlî | |
---|---|
Conjoint | Shiva |
Autres noms | Chamunda |
modifier |
Kālī, la Noire est, dans l'hindouisme, la déesse du Temps, de mort et de délivrance, mère destructrice et créatrice. C'est l'aspect féroce de la Devî, la déesse suprême, qui est fondamental à toutes autres déités hindoues. Kālī était déjà présente dans les Veda, comme étant une des sept langues de feu du dieu Agni (la même racine que le mot latin ignis).
Le processus de la recréation est décrit comme le « jeu de Kālī ».[réf. souhaitée] Kālī est considérée comme la force qui détruit les esprits mauvais et qui protège les dévots. Elle est la parèdre de Shiva.
Son nom dérive du mot kāla, le temps en sanskrit, celui qui détruit toute chose. Celui qui la vénère est libéré de la peur de la destruction. C'est également la femelle noire, à l'inverse de son époux, Shiva, couvert de cendres, qui est blanc ; c'est sa shakti, l'énergie sans laquelle le dieu n'est qu'une enveloppe vide.
Représentation ou mûrti
Elle est représentée nue, le regard féroce et la langue tirée, portant un long collier, descendant parfois à ses genoux, composé de crânes humains, dansant sur le corps de Shiva, qui en position de cadavre réclame son indulgence, allongé sur le dos.
Elle porte souvent un pagne formé de bras coupés, tient une tête décapitée dans une main, une épée, le pouvoir de la destruction, dans l'autre. La forme Bhadrakali possède plusieurs paires de bras, représentant les points cardinaux. Son culte est surtout développé dans le Bengale, qui inspira nombre de poètes chantant leur dévotion à leur déesse, tel Ramprasad Sen.
Pour le dévot ; elle est vêtue de l'univers, elle est l'image d'une mère protectrice, et les crânes de son collier représentent les 51 lettres du sanscrit.
La déesse Kālī et anecdotes historiques
Sous le nom de Chamunda, elle fut chargée de tuer l'asura Rakta-Vija (de rakta, sang, bija, graine) en buvant tout son sang, car chaque goutte tombée sur le sol engendrait un nouvel asura. Elle finit par consommer sa chair.
Nous retrouvons souvent la représentation de Kali qui marche sur "Shiva". L'histoire est qu'un démon prit la forme du Dieu destructeur Shiva pour s'attaquer à Kali, elle le remarqua, et le tua aussitôt. On prétend aussi qu'après la destruction des géants, Kali agitée et emportée par l'ivresse de sa victoire fit trembler le monde; aussi à la demande des autres dieux, Shiva voulut l'arrêter mais la déesse ne le remarqua pas et le piétina. Lorsqu'elle eut remarqué son irrespect, elle tira la langue de honte. C'est souvent cette histoire qui est est représenté dans les images et les statues de Kali.
C'est la déité tutélaire des Thugs, des assassins rituels présents au Bengale et en Orissa au XIXe siècle, que les Britanniques combattirent jusqu'à les faire disparaître dans les années 1830. L'importance du culte de Kālī dans l'est de l'Inde indique peut-être qu'elle trouve son origine dans une divinité de tribus aborigènes, tribus très nombreuses dans la région.
Dans le Sud de l'Inde existe la tradition d'un concours de danse entre Kālī et Shiva Nataraja, le seigneur de la danse, le créateur du Bharata Natyam, la danse classique du Tamil Nadu. Certains y voient le souvenir d'une victoire des shivaïtes locaux sur les dévots d'une divinité féminine locale, Pidari peut-être.
La déesse Kālī et la toponymie
Kālī a donné son nom à Calcutta par l'intermédiaire de Kalikata, un des trois villages loués à la Compagnie anglaise des Indes orientales, à l'origine de la ville. Hors de l'Inde, on trouve deux temples dédiés à Kâlî à Singapour.
Poème dédié à Kālī par Râmpraçad Sen (1718-1775)
« Ô esprit ! Pourquoi t'abandonner aux pensées vaines ?/Ce faste rituel et ce culte sont vains,/Qui accroissent encore la vanité de l'esprit !/ Que ta prière à Elle soit secrète, que nul n'en sache./ À quoi bon ces poupées de métal ou de cuivre ou de terre ?/ Ne sais-tu pas, insensé, que l'univers entier est l'image de la Mère ?/ Tu apportes une poignée de graines, effronté,/ comme une offrande à la Mère, à Celle/ qui nourrit le monde d'aliments délicieux !/ À quoi bon, fou, illuminer ainsi/ de lanternes, de bougies et de lampes ?/ Fais plutôt que grandisse la lumière de l'esprit,/ qu'il dissipe sa propre ténèbre, nuit et jour./ Tu as amené d'innocentes chevrettes au sacrifice./ Égoïsme cruel !... Pourquoi ne pas dire : VICTOIRE A KALI !/ Et sacrifier tes passions, ennemis véritables./ Pourquoi frapper les tambourins ?/ Dépose plutôt ton esprit à Ses pieds en disant :/ Que ta volonté, ô Kâlî, soit faite !/ Et puis bat des mains.// Plus je ne t'invoquerai par ce doux nom, Mère !/ Tu m'as donné d'innombrables chagrins/ Et m'en réserves plus encore, je le sais !/ J'avais une maison, une famille et me voilà/ par ta grâce dépossédé de tout sur terre./ Que puis-je endurer d'autre, je ne saurai le dire./ Qui ne sait que je dois mendier pour mon pain/ de porte en porte ? Et pourtant, je suis dans l'attente./ Un enfant ne doit-il pas vivre, sa mère morte ?/ Râmpraçâd était bien l'enfant de sa Mère,/ mais toi, ô Mère, tu as traité ton fils en ennemi./ Si, aux yeux de sa mère, l'enfant souffre à ce point,/ à quoi bon cette Mère pour l'enfant, cette Mère ?/ Ô Mère, quel est ce crime que j'expie/ durant ma longue vie dans la prison du monde ?/ Le matin, je travaille ; combien dure est ma part./ Je m'en vais çà et là gagner un salaire sans honneur./ Quelle désillusion rongeuse me possède !/ Et cependant, ô Mère, par quels charmes profonds/ n'as-tu pas attaché mon âme à ce vain monde !/ En m'appelant sur cette terre, innombrables/ ont été les peines assemblées le long de mon destin./ Elles me consument et le jour et la nuit./ Oh ! Mère, je ne désire plus la vie ! »
— Râmpraçâd SEN, A la Mère Divine[1].
Représentation de la déesse Kâlî
http://ganapati.perso.neuf.fr/dieux/shakti/kali.html
Kâlî est présentée avec peut-être les caractéristiques les plus effrayantes qui soient dans le monde des divinités. Elle a quatre mains, une épée dans l'une et la tête d'un démon dans l'autre. Les autres mains bénissent ses dévots et leur dit :"Ne craignez rien". En guise de boucles d'oreilles, elle porte des têtes de morts, son collier n'est qu'une suite de crânes humains et son vêtement est confectionné de mains humaines. Sa langue sort de sa bouche, ses yeux sont rouges, son visage et sa poitrine sont souillés de sang frais. Se tenant debout, l'un de ses pieds prend appui sur la cuisse, l'autre sur la poitrine de son époux, Shiva.
Ses trois yeux représentent le passé, le présent et le futur - les trois modes du Temps.
Les apparences et les noms de Kâlî sont très variés. Shyama, Adya Mâ, Târâ Mâ, Dakshina Kalika, Chamundi sont des formes populaires. Puis il y a aussi Bhara Kâlî, très douce, Shyamashana Kâlî, qui ne réside que sur les lieux de crémation.
Kâlî est représentée nue et d'un bleu sombre. Elle a trois yeux. Elle porte un collier de têtes humaines tranchées et, autour de sa taille, pend une guirlande de bras humains. Sa langue darde hors de sa bouche, avide de sang. Dans sa main gauche inférieure, elle tient une tête humaine décapitée et dans sa main gauche supérieure, elle tient une épée. De sa main droite inférieure, elle accorde des bénédictions à Ses dévots , tandis que le geste de Sa main droite supérieure signifie "Ne crains rien" (abhaya mudra). Un sourire grimaçant se peint sur Son visage. L'aspect terrible de Kâlî ne nous décourage pas car nous aimons la grandeur et le sublime de Son symbole. Dieu n'est pas seulement une figure bénissante, car la réalité reflète aussi les tragédies de la vie. Cette vérité fut expérimentée depuis les époques les plus lointaines des Veda : "Tous les êtres vivants sont la nourriture de Dieu, et la mort est son Condiment..." (Katha Upanishad, 1.2.25). Dieu et le Diable sont les deux facettes d'une même réalité. ce qui est bon déploie notre nature divine, ce qui est mauvais la rétracte et éclipse notre divinité. La mort n'est pas la destruction de la vie car de la mort émerge une nouvelle vie, qui trouve son accomplissement en luttant dans la bonne direction.
Forme redoutable de Devî en tant que vengeresse destinée à "terrifier la terreur", Kali "la noire", est généralement représentée jeune, avec des formes très féminines, mais la bouche ouverte parfois munie de canines protubérantes, tirant la langue, les yeux écarquillés, vêtue d'une peau de tigre, parée de guirlandes de crânes et brandissant des armes.
En tant que Chamundâ, "Celle qui extermina les grands démons Chanda et Munda", elle apparaît comme une vieille sorcière assoiffée de sang, échevelée, décharnée et revêtue d'une peau d'éléphant. Aprés avoir terrassé, rugissante, Chanda et Munda, elle se rua allègrement contre le démon Raktapa "suceur de sang" que les sept Matrika "petites mères de la création" n'avaient réussi qu'à blesser - or les gouttes de sang du démon se transformaient en autant d'autres démons semblables. Dévorant rapidement les petits démons déjà apparus et suçant avidement, à son tour, le sang du démon-vampire Raktapa, elle en fit une dépouille parcheminée.
Les symboles de l'image de Kâlî sont extrêmement puissants et porteurs de signification spirituelle. Par Elle, on peut atteindre à une Vision de la Réalité Ultime.
http://www.natha-yoga.com/Adya%20kali.htm
Tu apprécies le nectar du vin purifié des sacrifices,
Tu favorises ceux que le vin purifié réjouit,
Tu es l'énergie même de ceux qui T’adorent grisés de ce vin,
Le culte dont Tu fais l’objet au moyen du vin purifié Te satisfait,
Tu T’immerges dans l’océan de vin purifié,
Tu es la protectrice de qui accomplit les exercices rituels avec ce vin,
Le parfum de musc Te ravit,
Brille le signe tilaka tracé sur Ton front avec du musc,
Tu bénis ceux qui T’adorent avec du musc,
Et Tu les aimes ceux qui T’adorent avec du musc,
Tu es une mère pour ceux qui brûlent le musc comme de l’encens,
Shiva | |
---|---|
Monture | Nandi |
Attributs | le jatâmukuta Kundalinî une peau de tigre un trident un tambour à boules fouettantes |
Conjoint | Kâlî, Pārvatī |
Descendance | Ganesh, Skanda |
Shiva' (transcription anglaise, sanskrit शिव Śiva) — transcrit parfois par Siva ou Çiva, « le bon, le gentil, qui porte bonheur » — est un dieu hindou, un des membres de la Trimoûrti avec Brahmā et Vishnou.
Agni (Sanskrit en devanagari : अग्नि)[1] est l'une des principales puissances agissantes numineuses du Védisme, seigneur du feu[2] sacrificiel et du foyer.
Dans l'hindouisme, Agni est un des dieux principaux, que l'iconographie représente chevauchant un bélier. Agni est aussi vénéré dans le bouddhisme ésotérique.
Agni chevauche un bélier car c'est l'animal associé au feu, dans le principe des sept chakras majeures de l'hindouisme. Le feu est l'élément attribué à manipura, la troisième chakra. Pour la petite histoire, ram (bélier dans une traduction de l'anglais au français) est le mantra associé à la troisième chakra.
Bhārata est une épithète d'Agni, d'où provient le nom de l'Inde, Bharat, en hindi et en sanskrit (de Bhatatas, une tribu aryenne).
Agni est un dieu trifonctionnel : En tant que dieu du feu, il est à la fois le feu de la purification et du sacrifice, qui permet aux oblations d'être transmises aux dieux, le feu de la guerre[3] et de la fin des temps, qui détruit le monde (mais permet sa régénérescence) et le feu du foyer, qui réchauffe et permet la cuisson des aliments.
Agni est également un des dikpala, le gardien du sud-est. Dans un mariage hindou, Agni est le témoin principal.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Agni_(dieu)
Agni est le dieu du feu, le gardien des maisons et le protecteur contre mal. Dieu du feu, à la fois du feu réel (dans le foyer) du feu du sacrifice (Yagya) et du feu de l'âme. Il est l'étincelle de vie et donc une partie de lui se retrouve dans chaque être vivant.
ATTRIBUTS. mythologica.fr
Il est généralement de couleur rouge, avec deux visages, sept langues de feu et des dents en or;
sept rayons de lumière émanent de son corps. Le nombre de bras ou de jambes semble variable.
Il se déplace sur un char tiré par des chevaux ou bien directement sur le dos d'un bélier.
Agni est le dieu du feu,
ATTRIBUTIONS. mythologica.fr
Dieu du feu, à la fois du feu réel (dans le foyer) du feu du sacrifice (Yagya) et du feu de l'âme. C'est lui qui fait le lien entre les humains et les dieux. Il reçoit les offrandes et les redonne aux dieux.http://mythologica.fr/hindou/agni.htm
- Rites et représentations
Agni est représenté comme un dieu de couleur rouge, vêtu de noir comme la Fumée, souvent à 2 ou 3 têtes, sept langues de feu (une de ses langues seraient des formes de Durgâ ou de Kâli). Ses quatre bras portent une hache, une torche, un éventail (qui sert de soufflet), une louche ou cuiller et parfois un Lance de Feu.
Agni est au centre de plusieurs rituels essentiels comme l'agniyâdheya (Instauration d'un Feu sacré pour allumer les Feux sacrificiels), l'agnihotra (Offrande quotidienne au Feu des brâhmanes), agnistoma (fête du printemps où on sacrifie un bélier), l'agnichayana (empilement de bois pour le feu), l'antyesti (bûcher funèbre). - Aspects et avatars
Agni est parfois identifié à son père le Soleil (Vivasvat ou Sūrya), voire à Rudra / Śiva.
Il a de nombreux aspects qui correspondent aux divers types de Feux (voir ses enfants, Feu terrestre, atmosphérique et céleste).
Ses deux têtes représente le fait qu'il est un des dieux les plus ambigus, le plus positif comme Messager des sacrifices et le plus dangereux comme Destructeur.
Le Sage Aurva (un muni, ascète descendant de Bhrigu et ancêtre de Paraśurāma) aurait été un de ses avatars humains. - Véhicule
Agni monte d'habitude un Bélier (d'où son surnom de Châgaratha), ou bien un chariot tiré par des boucs, des perroquets ou bien sept chevaux rouges (d'où son surnom de Rohitâśhva). - Adorateurs
Agni est adoré par toutes les classes sociales, mais il y a des groupes qui lui sont encore plus dévoués chez les Brahmanes sacrificateurs (notamment l'adhvaryu, qui fait le feu du sacrifice et l'agnîdh officiant qui entretient le feu).
Agni est aussi adoré par les ennemis des Dieux sous son aspect de Destructeur. - Relations
L'épouse d'Agni s'appelle Agnâyî ou Svāhā (personnification de l'Offrande offerte au Feu). Elle serait une nymphe, fille de l'asura Daksha. Mais d'autres disent qu'elle est un aspect de la compagne de Rudra et qu'elle est la mère de Karttikeya.
Il a eu plusieurs enfants qui seraient les différentes sortes de Feux, Feu terrestre et Feu domestique, Feu du bûcher (Kravyada-agni), Incendie (Dava-agni), Feu atmosphérique (la foudre Vajra d'Indra), Feu céleste du Soleil, Feu cosmique qui annihile périodiquement les mondes (feu qui pour l'instant couve encore au fond du volcan Vâdavamukha au bout du monde, sous les eaux de la Mer du sud).
Vâyu, Dieu du Vent, est le meilleur ami d'Agni et son souffle alimente les feux.