http://fr.wikipedia.org/wiki/Moloch
Moloch est dans la tradition biblique le nom du dieu auquel les Ammonites, une ethnie cananéenne, sacrifiaient leurs premiers-nés en les jetant dans un brasier.
D'après des découvertes récentes à Carthage, le mot désignerait en fait le sacrifice lui-même, molk, et non une divinité, qui aurait été inventée pour traduire l'expression.
La tradition a néanmoins gardé le sens d'une divinité, et le nom désigne aussi un démon dans les traditions chrétienne et kabbalistique.
Croquis de la statue du Moloch
C'EST LE dieu CORNU LE TAUREAU assoifé de SACRIFICES ET DE SANG !!!
ET SI YAHWEH DIT ET CONFIRME LEURS AGISSEMENTS, I
L S'AGIT D'UNE généralité ET NON PAS D'UNE EXCEPTION !!
ET LA MARIE, Médiatrice, Avocate, et Corédemptrice et le JESUS CHRIST DU SACRE COEUR S'ONT AUSSI assoiffés de SOUFFRANCE ET DE SANG !! ET LEURS VICTIMES SONT DES SACRIFICES VIVANTS ET SANGLANTS à LEUR MERCI et AVEC ACCEPTATION DU SACRIFICE !!!
Un problème de traduction
L’existence d’un dieu spécifique nommé Moloch a été remise en cause par des découvertes archéologiques, qui jettent un autre sens sur la lecture de l'hébreu ancien. Il n'y a à ce jour aucune inscription faisant mention de ce dieu.
Les textes hébreux ne sont pas vocalisés, et le mot מלך, réduit aux consonnes mlk, peut désigner aussi bien un roi. Seul le rétablissement des voyelles permet de faire la différence. On a donc proposé que le terme Moloch serait une variante de roi, appellation honorifique pouvant s’adresser à des divinités différentes. La vocalisation se faisant avec les voyelles de honte, certains ont suggéré d’y voir une déformation délibérée de roi visant à dénigrer le dieu des Ammonites.
Cependant en 1921, l’archéologue Otto Eissfeldt a découvert sur le site de Carthage une nécropole contenant des restes d’animaux et de jeunes enfants, utilisée du VIIIe siècle av. J.‑C. à 146 av. J.-C. avec des inscriptions mlk qui ne pouvaient s’interpréter ni comme roi, ni comme le nom d’un dieu.
Ces découvertes lui ont suggéré l’idée que moloch pourrait être le nom du sacrifice par le feu et non celui d’un dieu.
Depuis, le mot molk est reconnu comme un mot sémitique désignant un sacrifice humain, dont la victime est parfois remplacée par un animal[1].
Là où la Bible lit pour faire passer leurs fils et leurs filles par le feu à Moloc[2], il conviendrait sans doute mieux de lire pour faire passer leurs fils et leurs filles par le feu de molk, le feu du sacrifice.
CE dieu cornu existe depuis la plus haute antiquité et agit au niveau mondial depuis très longtemps.
Dans le Livre d'Hénoch, nous pouvons lire que la terre était à SANG et que Noé avait peur pour SA DESTRUCTION !!
Le dieu
Dans la littérature rabbinique du Moyen Âge, on peut lire que Moloch, dieu des Ammonites, recevait les sacrifices d’enfants dans un lieu nommé Tophet dans la vallée de Hinnom proche de Jérusalem.
Le Tophet est décrit par Rachi comme une statue de bronze avec les bras tendus pour recevoir ses victimes dont des tambours couvraient les cris.
Une autre source rabbinique précise qu’elle était creuse et divisée en sept compartiments destinés chacun à une offrande différente : farine, tourterelles, brebis, béliers, veaux, bœufs, enfants ;
les sept offrandes devaient brûler ensemble.
Les noms de Tophet et Himmon sont parfois interprétés comme dérivant respectivement de tambour et vacarme en hébreu.
Des commentateurs ultérieurs du Tanakh ont fait l’association avec les sacrifices d’enfants offerts à Carthage selon Diodore de Sicile et Plutarque, associant Moloch avec Baal Hammon et Tanit, dieux de la colonie phénicienne.
ATTENTION SHIVAYA A UN TAMBOUR AUSSI DANS SES ATTRIBUTS !!
Le démon
Son image dans la Bible explique que dans la démonologie chrétienne Moloch soit devenu le démon qui tire sa joie des pleurs des mères à qui il vole leurs enfants.
Prince de l'Enfer, son pouvoir serait, d’après les démonologues du XVIe siècle, à son apogée en décembre.
Dans la tradition kabbalistique, Moloch et Satan sont les premiers des deux sephiroth mauvais.
Moloch représente l'aspect négatif du premier sephiroth, Kether (couronne de connaissance).
Le terme Tophet peut désigner :
- un lieu biblique proche de Jérusalem (voir Tophet (lieu)), Tophet comme Géhenne sont devenus des noms pour l'enfer.
- la partie centrale des sanctuaires à l’air libre et lieu des sacrifices de l'Orient sémitique présent dans les religions phéniciennes, libyques ou puniques. Y sont déposées les urnes contenant les cendres (dites vases cinéraires) des enfants (jusqu'à quatre ans) ou des animaux — par substitution — ayant été sacrifiés aux dieux.
Le tophet peut désigner l'ensemble ou une partie — la fosse des sacrifices — de l'aerae sacré à ciel ouvert. Autour du tophet, se trouvent les stèles votives offertes en ex-voto pour commémorer les sacrifices ainsi que des stèles funéraires. L'originalité de ces aires sacrées est l'absence de construction, jusqu'au IIe siècle av. J.‑C.. De tels lieux ont été retrouvés dans plusieurs territoires occupés par les Phéniciens : en Africa et en particulier en Afrique proconsulaire (dans l'actuelle Tunisie et ainsi à Carthage), en Sicile (Motyé) ainsi qu'en Sardaigne (Site archéologique de Nora au Sud et Sant'Antioco au Sud-Ouest). Ces sacrifices se faisaient sans doute à la déesse Tanit ou au dieu Ba`al Hamon puis à Saturne dit africain. Dans les périodes les plus récentes, c'est-à-dire jusqu'au IIe siècle av. J.‑C., lorsque Carthage était déclinante on constate une diminution des substitutions animales. La thèse de Marcel Le Glay a montré que l'installation de Rome en Afrique « ne constitue pas pour autant une coupure, ni dans l'évolution du sanctuaire ni dans la forme des offrandes » mais dans la forme et les inscriptions des stèles des tophets. Ce type de temple est présent dans toute l'Africa romaine, en position littorale ou au contraire dans l'arrière-pays, sur une hauteur, au prix d’aménagement d’une plate-forme, ainsi à Dougga.
Les tophets les mieux connus et les plus étudiés sont sans doute ceux dits de Salammbô, découvert à Carthage et détruit en 146 av. J.-C., et celui d'Hadrumète. Nombre de tophets puniques furent détruits, remplacés ou encore transformés en temples romains à portiques.
Tophet de Sant'Antioco
Tombeaux dans la vallée de Hinnom.
Le Guei Hinnom (héb. גיא הנום Vallée de Hinnom, ou גיא בן הנום Guei
Le Guei Hinnom (héb. גיא הנום Vallée de Hinnom, ou גיא בן הנום Guei ben Hinnom, Vallée des Fils de Hinnom, rendu en grec par γεέννα Gehenna) est une vallée étroite et profonde située au sud et au sud-Ouest de Jérusalem, correspondant au Wadi er-Rababi.
Il est généralement considéré que la vallée passe à l'est de l'actuelle Vieille Ville, au sud du mont Sion et débouche au fleuve Cardon.
La vallée est associée de longue date à des cultes idolâtres, dont le plus infâme inclut la pratique d'infanticides rituels dans le feu. Convertie ensuite en dépotoir dont la pestilence émane à des lieues à la ronde, la Géhenne acquiert dans la littérature juive ultérieure, tant apocalyptique que rabbinique et chrétienne, une dimension métaphorique, devenant un lieu de terribles souffrances, puis de demeure après la mort pour les pécheurs. Elle fut également réputée pour être le lieu de réclusion des lépreux et pestiférés. Toutefois, alors qu'elle n'est qu'un lieu de passage, voire la dénomination d'un processus de purification des âmes dans la pensée juive, elle se confond, sous l'influence de la pensée grecque, avec les Enfers dans la pensée chrétienne, puis musulmane, le Jahannam du Coran n'ayant plus aucune parenté avec le Wadi er-Rababi.
Le Gue Hinnom dans la Bible Hébraïque
La vallée de Hinnom est mentionnée pour la première fois dans Jos. 15:8, afin de décrire la limite entre le territoire de la tribu de Juda et celui de la tribu de Benjamin.
Le roi Salomon y érige des hauts-lieux aux idoles moabites et ammonites[1]; les rois idolâtres y font passer leurs fils ainés au feu, pour le consacrer au Molech[2] au lieu-dit du Topheth[3]. Les infanticides se poursuivent encore au temps de Jérémie[4], qui invective les Hyérosolimitains se livrant à ce culte idolâtre et à la perpétration d'abominations, allant jusqu'à prophétiser la destruction de Jérusalem.
Son contemporain, le roi Josias, également farouche opposant au culte, bien que Baal n'y soit pas directement mentionné, profane le lieu en y répandant des ossements humains[5], suite à quoi la vallée sert de dépotoir, des feux brûlant continuellement pour maintenir les déchets à un niveau bas[6].
La vallée de Hinnom et le Topheth ont déjà acquis une réputation détestable au temps des prophètes: Isaïe[7] y promet au roi d'Assyrie sa dernière demeure, et prophétise qu'après la délivrance de Sion, les cadavres des ceux qui se sont élevés contre YHWH bruleront en permanence[8]. Toutefois, ces prophéties, qui nourriront les conceptions du jugement dernier, ne contiennent aucune allusion à un au-delà et semblent plutôt se rapporter ce monde[9], évoquant aux auditeurs des images désagréables bien connues.
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9henne
La Géhennem en Islam
La Géhennem en Islam est synonyme d'enfer. C'est un lieu chaotique où un feu éternel, de température 70 fois supérieure à celle de la plus chaude des flammes du soleil, brûle les mécréants pour l'éternité. Les musulmans désobéissants (le "poids" de leur péchés est supérieur à celui de leurs bonnes actions) y brûlent un certain temps proportionnel à leur désobéissance en Allah, puis sortent de la Géhennem pour le Paradis. Ceci se déroulant pendant le Jour du jugement (le dernier jour, le jour de l'autre monde, le jour de la Qiyamah, le jour des comptes).
La Géhenne dans le Nouveau Testament
La γεέννα se trouve mentionnée une douzaine de fois dans le Nouveau Testament, et est généralement rendue par le mot Enfer (Louis Segond conserve toutefois l'appellation "géhenne"), bien que, dans certaines occurrences, Jésus puisse faire référence à la Vallée de Hinnom elle-même.
La géhenne est communément synonyme de tortures, d'intenses souffrances.
Description
Le royaume d’Hadès est l’endroit où toutes les psychai vont pour être jugées après la mort. Toutes les âmes sont retenues comme des ombres sans force ni sentiment, pure présence d’un passé à jamais aboli,
et qui peuvent reprendre vie quand on les évoque, en général par une libation de sang à même le sol.
Les détails de la description du devenir des « âmes » après la mort évoluent avec l’orphisme et Platon. Plusieurs séjours des morts sont distingués clairement et il s’introduit le règlement d’un jugement post-mortem, fondé sur les qualités et les défauts de chacun, devant un tribunal présidé par Minos, Éaque et Rhadamanthe ; les séjours des morts peuvent ainsi être :
Hypnos, le Sommeil, et Thanatos, son frère (la mort), séjournaient dans le monde souterrain, d'où les rêves montaient vers les hommes. Ils passaient par deux portes, l'une faite de corne, pour les rêves véridiques, l'autre d'ivoire, pour les rêves mensongers.
Suite !