http://fr.wikipedia.org/wiki/Tonalli
Le tonalli, dans la religion aztèque et plus généralement chez les Nahuas, est un concept désignant l'énergie vitale d'un être vivant. Il a souvent été comparé au concept polynésien de mana. Les Nahuas considèrent que le tonalli d'un être détermine son destin et s'exprime à travers son intelligence et sa volonté.
Libération du tonalli
Dans la pensée aztèque, le sacrifice humain permet en effet de libérer une énergie appelée « tonalli », liée en particulier à la tête, au sang (que les Aztèques désignaient par la métaphore « chalchiuatl », « eau précieuse ») et au cœur.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kundalin%C3%AE
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kundalini_yoga
La Kuṇḍalinī (devanāgarī: कुण्डलिनी, sur la racine "kundal" signifiant "boucle" ) est un terme sanskrit lié au Yoga qui désigne une puissante énergie qui se trouverait logée dans l'os sacrum. Elle est représentée comme un serpent enroulé sur lui-même trois fois et demi. Par la pratique de la méditation, la Kuṇḍalinī s'éveillerait et monterait le long de la colonne vertébrale depuis l'os sacrum jusqu'à la fontanelle, progressant d'un des sept chakra à l'autre afin de les harmoniser un à un. La Kuṇḍalinī est indifféremment désignée comme « énergie vitale » ou « énergie divine » selon les auteurs qui l'emploient et la tradition qui l'utilise. Le terme ancien, Kuṇḍalinī Shakti, issu du tantrisme, est aujourd'hui employé fréquemment dans le courant New Age. On trouve ce concept dans quelques upaniṣad mineures telle la Yoga Kuṇḍalinī Upanishad. Le déploiement de la Kuṇḍalinī conduirait à l'éveil spirituel du pratiquant et à la plus haute conscience de soi.
Sacrifice humain par cardiectomie, en haut à gauche, et par autosacrifice, en bas (Codex Tudela, folio 21).
Maquette de la grande pyramide du Templo Mayor de Mexico-Tenochtitlan
Sacrifice gladiatorial (Codex Magliabechiano, folio 30).
Sacrifice à coups de flèches (Historia tolteca-chichimeca, folio 28r).
Cuauhxicalli en forme de jaguar (salle mexica du musée national d'anthropologie de Mexico).
Représentation d'un tzompantli, à droite (Codex Tovar).
Repas anthropophage après un sacrifice humain (codex Magliabechiano, recto du folio 73).
http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A2l%C3%AE
Kālī, la Noire est, dans l'hindouisme, la déesse du Temps, de mort et de délivrance, mère destructrice et créatrice. C'est l'aspect féroce de la Devî, la déesse suprême, qui est fondamental à toutes autres déités hindoues.
Kālī était déjà présente dans les Veda,
comme étant une des sept langues de feu du dieu Agni (la même racine que le mot latin ignis).
Kâlî |
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Conjoint |
Shiva |
Autres noms |
Chamunda |
Représentation ou mûrti
Elle est représentée nue, le regard féroce et la langue tirée, portant un long collier, descendant parfois à ses genoux, composé de crânes humains, dansant sur le corps de Shiva, qui en position de cadavre réclame son indulgence, allongé sur le dos.
Elle porte souvent un pagne formé de bras coupés, tient une tête décapitée dans une main, une épée, le pouvoir de la destruction, dans l'autre. La forme Bhadrakali possède plusieurs paires de bras, représentant les points cardinaux. Son culte est surtout développé dans le Bengale, qui inspira nombre de poètes chantant leur dévotion à leur déesse, tel Ramprasad Sen.
Pour le dévot ; elle est vêtue de l'univers, elle est l'image d'une mère protectrice, et les crânes de son collier représentent les 51 lettres du sanscrit.
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