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Les Hellènes ou Ellènes ?? El ???
Commentaires personnels :
AUJOURD'HUI EN Grèce, les grecs dans le pays, s'appellent Ellines, et la Grèce, ELLADA ou ELLAS,
à l'heure d'aujourd'hui.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89poque_hell%C3%A9nistique
L’époque hellénistique a été définie par les historiens du XIXe siècle (le terme « hellénistique »
est employé pour la première fois
par l’historien allemand Johann Gustav Droysen dans Geschichte des Hellenismus (1836 et 1843)),
à partir d’un critère linguistique et culturel,
à savoir l’accroissement spectaculaire des régions où l’on parle le grec (ἑλληνίζειν / hellênízein)
et donc du phénomène d’expansion de l’hellénisme.
Cependant ce phénomène d’hellénisation des populations et de rencontre
entre les anciennes civilisations orientales et grecques se poursuit y compris
sous l’« Empire gréco-romain », selon l’expression de Paul Veyne.
Les limites chronologiques de la période hellénistique sont donc conventionnelles et politiques :
elles débutent avec la mort d’Alexandre le Grand et se terminent quand le suicide du dernier grand souverain hellénistique,
la reine d’Égypte Cléopâtre VII, fait place à la domination romaine.
Les travaux archéologiques et historiques récents conduisent à réévaluer cette période
et en particulier deux aspects caractéristiques de l’époque,
l’existence et le poids des grands royaumes dirigés par des dynasties d’origine grecque ou macédonienne
(Lagides, Séleucides, Antigonides, Attalides, etc.)
mais aussi le rôle déterminant des centaines de cités dont l’importance,
contrairement à une idée longtemps répandue, est loin de décliner.
La conquête d’Alexandre
Roi de Macédoine à 20 ans, maître de la Grèce deux ans plus tard, Alexandre le Grand entreprend
lors de son bref règne — 13 ans à peine entre 336 et 323 av. J.-C. — la conquête la plus spectaculaire
et la plus rapide de l’Antiquité.
Un royaume, de taille somme toute moyenne, associé à quelques cités grecques vient à bout
du plus grand empire de l’époque, l’Empire perse de Darius III.
Le souverain achéménide est vaincu en quatre ans (334-330) et trois batailles,
celles du Granique, d’Issos et de Gaugamèles[1].
Les trois années suivantes, jusqu'en 327, sont consacrées à la lente
et difficile conquête des satrapies de l’Asie centrale, puis jusqu'en 325 à assurer
la domination macédonienne sur le nord-ouest de l’Inde.
C’est ici qu'Alexandre, sous la pression de ses troupes épuisées, doit renoncer à poursuivre son épopée
et retourner vers ce qui est devenu le cœur de son empire, la Mésopotamie[2].
Afin d’assurer sur le long terme son pouvoir, il tente d’associer la classe dirigeante de l’ancien Empire achéménide
à l’ossature administrative de son royaume[3].
Il essaie ainsi de créer une monarchie assumant à la fois l’héritage macédonien et grec d’une part
mais aussi l’héritage perse et, d’une façon plus générale,
asiatique. La mort brutale du roi, probablement de maladie, à l’âge de 33 ans met fin à cette tentative originale
mais vivement contestée par l’entourage macédonien du souverain[4].
Au cours de sa conquête, Alexandre parseme l’Asie de garnisons et de colonies militaires ;
il fonde de multiples cités sur le modèle grec.
Ce sont autant de creusets dans lesquels se fondent les cultures asiatiques a
vec celle héritée d’Athènes ou de Corinthe, donnant naissance
à la civilisation hellénistique.
L’intervention romaine
et la disparition politique du monde hellénistique
À la fin du IIIe siècle av. J.‑C., la Grande Grèce — c’est-à-dire l’Italie du sud et la Sicile —
tombe sous la domination romaine après un siècle d’affrontement,
que ce soit avec Pyrrhus[11] ou dans le cadre des guerres puniques.
Mais il faut attendre le début du IIe siècle av. J.‑C. pour que Rome intervienne réellement
en Orient. Dans un premier temps, elle dompte militairement les Antigonides et surtout Antiochos III,
la dernière grande figure politique des souverains
hellénistiques avant Mithridate et Cléopâtre.
Puis, dans un lent et complexe processus de grignotage qui s'étale sur près de deux siècles,
avec la complicité de cités et du royaume de Pergame,
Rome s'assure la domination complète de la Méditerranée orientale.
Ce processus est lent au départ et Rome préfère dans un premier temps ne pas annexer
de territoires (première moitié du IIe siècle av. J.‑C.).
Mais à partir de 148/146 et la conquête définitive de la Macédoine et de la Grèce (saccage de Corinthe)
ainsi que leur transformation en provinces romaines,
le processus impérialiste est enclenché[12]. En 133 le royaume de Pergame devient romain
et forme la province d'Asie en 128/26.
En 102 c'est la Cilicie qui passe sous le contrôle de Rome puis en 96 la Cyrénaïque.
Parallèlement, l’influence politique des Séleucides s'effondre brutalement en Asie centrale,
en Perse puis en Mésopotamie
après le règne d’Antiochos III (223-187 av. J.-C.).
Ce dernier possède encore les moyens de diriger une expédition jusqu'aux limites de l’Inde.
Sous le règne de son fils Antiochos IV Épiphane (-175 à -163), les Séleucides ne parviennent
même pas à vaincre l’insurrection des Maccabées en Palestine.
L’irruption des Parthes accélère cette décomposition politique et aux débuts du Ier siècle av. J.‑C.
les souverains séleucides ne gouvernent plus que la Syrie.
Celle-ci est annexée par Pompée en 64/63.
Cependant, cette pénétration romaine dans l’Orient hellénistique ne va pas sans résistance
et il ne faut pas moins de trois guerres aux Romains
pour abattre le roi du Pont Mithridate VI au Ier siècle av. J.‑C.. Pompée réorganise alors l’Orient sous l’ordre romain.
Le monde hellénistique devient le champ d’affrontement des ambitions des divers généraux
de la République romaine (bataille de Pharsale, bataille de Philippes, bataille d’Actium)
jusqu’à la victoire finale d’Octave. Le dernier acte de cette conquête est la lutte
qui oppose Octave à Marc Antoine, allié de la dernière
souveraine lagide d’Égypte, Cléopâtre VII, et la défaite puis le suicide de cette dernière en 30 av. J.-C.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8ce_antique
Religion
La religion grecque antique a pour particularité
de n'avoir ni textes sacrés, ni dogme, ni Église :
elle est polythéiste.
Elle accorde une grande importance aux rites et peu à la dévotion personnelle.
Les différents cultes peuvent être distingués en trois grandes catégories :
cultes publics, rassemblant la communauté des citoyens d'une cité,
cultes privés, appartenant à la sphère domestique, cultes à mystères,
qui seuls promettent aux initiés une vie heureuse et un au-delà.
Le panthéon grec comporte douze divinités principales (dites « olympiennes »),
dont les plus importantes sont exprimées par trois figures ayant le monde
en partage : Zeus, dieu de la foudre, régnant sur le Ciel, Poséidon, dieu des mers, des océans
et des séismes et enfin Hadès, maître du monde des Enfers.
Divinités olympiennes
Les divinités olympiennes sont les divinités grecques qui, selon la mythologie,
résident sur le mont Olympe.
Ils se nourrissent d'ambroisie et de nectar, et engendrent d'autres dieux.
Ils descendent parfois sur Terre parmi les mortels, afin de les aider, de les punir,
mais aussi pour s'unir, engendrant ainsi des demi-dieux ou héros.
Traditionnellement, le canon olympien est limité à douze, six dieux et six déesses.
La liste de ces divinités a cependant varié selon les époques, et en compte en tout quatorze différentes.
Zeus, Héra, Poséidon, Arès, Hermès, Héphaïstos, Athéna, Apollon et Artémis
sont toujours comptés parmi les douze.
Ils sont complétés par Hestia, Déméter, Aphrodite, Dionysos et Hadès, dont la présence est variable.
Homère, entre autres au chant I de l’Iliade, fait allusion à un langage des dieux différent de celui des mortels,
quand il explique que l'Hécatonchire Briarée s'appelle Égéon dans la langue des dieux[1].
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hell%C3%A9nisme_(religion)
Hellénisme (religion)
L’hellénisme (aussi appelé parfois dodécathéisme ou plus souvent néopaganisme hellénique)
est la résurgence contemporaine
de la religion grecque antique interdite par l'empereur Théodose en 392 et 393.
Il s'intègre dans la mouvance du néopaganisme.
Il se nomme aussi Hellenismos, nom choisi par l'empereur Julien au IVe siècle
pour désigner le paganisme gréco-romain face au christianisme,
Religion grecque ou paganisme hellénique, parfois Culte des Douze Dieux (de l'Olympe) -
en grec Dodekatheismos.
Dans l'Antiquité, ce culte n'avait pas besoin d'un nom spécifique.
Et par Hellenismos, Julien entendait autant une culture et un mode de vie (une civilisation),
un humanisme qu'une religion au sens que nous donnons à ce mot au XXIe siècle.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ellina%C3%AFs
Ellinaïs
Ellinaïs (en grec : Ελληναΐς ou ΕΛΛΗΝ.Α.Ι.Σ.), également connue
comme l’Association sacrée des fidèles de l’ancienne foi hellénique
(Ελλήνων Αρχαιοθρήσκων Ιερόν Σωματείον), est une organisation religieuse
basée à Athènes pour regrouper les polythéistes olympiens de Grèce.
Ellinaïs revendique que ses rituels puissent se dérouler sur les sites des anciens sanctuaires olympiens
(ce qui la place en conflit avec l’administration
des monuments historiques et avec les syndicats des guides touristiques)
et que les mariages, reconnaissances onomastiques
et autres cérémonies olympiennes soient officiellement reconnus par l’état-civil,
à l’égal des baptêmes et mariages chrétiens.
Ellinaïs a également des positions politiques, militant pour la paix mondiale, la préservation de l’environnement,
le droit à l’éducation pour tous, l’égalité hommes-femmes et homos-hétéros, la tolérance religieuse.
Le groupe comporte des degrés initiatiques et compte trois hauts dignitaires,
dont Kostas Stathopoulos. Son porte-parole est une femme, Doreta Pepa.
Histoire
Dirigée par un conseil d'administration de 34 membres (surtout des universitaires),
Ellinaïs a été fondée en 2005 et a reçu de la part de l'État grec
sa reconnaissance en tant qu'organisation religieuse,
malgré les protestations de l'Église orthodoxe de Grèce.
Ellinais entend représenter les croyants restés fidèles aux anciens Dieux de l'Olympe,
persécutés durant dix-sept siècles, vivant clandestinement et passés
à l'ésoterisme[1].
À l'époque byzantine, alors que la majorité des Grecs, christianisés,
se définissaient comme Romées (Ῥωμαῖoι, c'est-à-dire orthodoxes
et sujets de la Romania, nom officiel de l'Empire),
seuls les polythéistes se revendiquaient encore comme Έλληνες (Hellènes),
et ce nom signifiait païens aux yeux des chrétiens[2].
Le 22 janvier 2007, Ellinaïs a décidé de sortir définitivement de la clandestinité en réunissant environ 300 fidèles,
vêtus de tuniques et de chitons et gardés par les hoplites du service d'ordre, durant une heure et demie,
pour un culte public au temple de Zeus olympien d'Athènes,
comportant des hymnes, des danses sacrées et des processions avec des torches.
Télévision et médias ont été invités.
Les prêtres célébrèrent les noces de Zeus et de Héra[3].
Les hiérarques de l'Église parlèrent de secte et de mascarade mais le but fut atteint :
les polythéistes se firent connaître du grand public
et, depuis, Ellinaïs a fait de nombreux adeptes
(elle revendique 350 000 fidèles, la police lui en reconnaît entre 15 000 et 20 000)[4].
http://fr.wikipedia.org/wiki/El_(dieu)
El est un mot des langues sémitiques du groupe nord-ouest, signifiant "dieu".
Il peut avoir pris différentes significations selon l'endroit et le lieu où il est attesté,
et il a notamment servi à désigner un dieu précis, qui a occupé une place importante
dans différents panthéons.
Premières attestations
Dans les régions écrivant l'akkadien cunéiforme au cours du IIè millénaire, on trouve des noms de personnes
et des mentions de 'El, Ilu(m) en akkadien.
Le terme est en fait écrit par l'idéogramme DINGIR, servant de déterminatif pour la divinité.
Quand on a un nom amorrite, on lit 'El, comme dans toutes les
langues sémitiques occidentales.
Avant ces attestations, qui datent du début du IIè millénaire av. J.-C., on est peut-être déjà en présence
d'une forme ancienne du terme El dans les textes
de la bibliothèque Royale d'Ebla (site archéologique de Tell Mardikh, en Syrie) du XXIVè siècle av. J.-C.,
où on trouve un dieu Ilu (lecture incertaine),
assimilé au dieu sumérien Enlil. Ce nom se trouve à la tête d'une liste de dieux,
comme ancêtre des dieux ou père de tous les dieux[1].
On ne sait pas vraiment ce qui se trouve derrière ces mentions d'un "dieu".
Peut-être s'agit-il d'une référence au concept de divinité en général,
à une divinité personnelle ou familiale (ilu(m) désignant aussi en akkadien une divinité protectrice) ,
ou bien à une divinité particulière, Addu ou Dagon.
Ougarit
Vers le début du deuxième millénaire av. J.C, El est présenté par les textes de la mythologie ougaritique
comme le père du panthéon local[2] .
Il se fait cependant supplanter par Baal (Hadad) (son fils?), le dieu de l'Orage.
A Ougarit, El aurait donc été alors une divinité en perte d'influence,
qui se serait fait dominer par les dieux de la jeune génération.
Sa parèdre (déesse consort) etait Asherat.
D'après certains textes El est le père des dieux Hadat/Baal, Yamm (la mer) et Mot (la mort).
El est appelé dans les tablettes ougariennes soit "Toru El" (le dieu taureau), soit "Batbyu binwati",
le créateur de toute créature, soit "Abu bani ili",
le père des dieux, soit "Abu adami", le père des hommes. Il est "qaniyunu ôlam", le créateur éternel,
ce mot "ôlam" réapparaissant dans la Bible,
dans sa forme hébraïque El Ôlam, pour désigner le Dieu Eternel (Genèse 21.23)
Il est possible qu'il faille voir dans le dieu El d'Ougarit une épithète désignant le dieu Dagon,
dieu de la fertilité des panthéons sémitiques occidentaux,
car Baal est tantôt présenté comme fils de Dagan (le plus souvent), et comme fils d'El.
De plus, cela expliquerait pourquoi Dagan disposait d'un temple important à Ougarit
tout en étant absent des textes mythologiques,
alors qu'on n'a pas découvert de temple dédié à El à Ougarit.
Empire hittite
El est également connu par un mythe hittite d'origine cananéenne, Elkunirshag et Ashirat.
El y porte le nom d'Elkunirshag, et là aussi sa parèdre est la déesse Asherat.
Ce texte rapporte lui aussi la rivalité entre El et Baal.
Son état fragmentaire ne nous permet pas de bien voir le déroulement du récit.
Au début, Asherat tente de séduire Baal, qui repousse ses avances.
Devant cet échec, elle le calomnie auprès de El, et tous les deux s'unissent pour le châtier.
Anat vient ensuite au secours de Baal, et la suite du récit est
inintelligible. Il a en tout cas le mérite de nous montrer l'existence d'autres mythes relatifs
aux divinités cananéenns en dehors d'Ougarit.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Elohim
Dans les langues sumeriennes, entre -4000 et -2000 avant JC,
on aperçoit dans les textes cunéiformes le mot "ilu" qui veut dire "Dieu"[1]
http://el.wikipedia.org/wiki/%CE%9C%CE%B5%CE%B3%CE%AC%CE%BB%CE%B7_%CE%95%CE%BB%CE%BB%CE%AC%CE%B4%CE%B1
Η Μεγάλη Ελλάδα ή Μεγάλη Ελλάς,
Magna Graecia στα λατινικά, Magna Grecia (ή, σπανιότερα, Grande Ellade) στα ιταλικά, ή
ταν η επικράτεια των διαφόρων αρχαίων Ελληνικών αποικιών στην Σικελία και νότια Ιταλία.
Petit Éleusis
Petit Éleusis étaient « préparation » pour les grands mystères. Au mois de Anthestiriwna et
a été nommé en l'honneur de Persefonis.
Le neoplatwnistis Thomas Taylor, dans son livre « D'Éleusis et Bakchika Mystiria », affirme
« Les mystères inférieures devaient conduire
à une manière apocryphe, que la situation de non-exagnismenis âme définie maison l'endythei
terre de regroupement et de la nature physique. »
Grand Éleusis
La grande eortazontan d'Éleusis durant le 15e jour du mois Boidromiwna et a duré neuf jours.
Participants ont appelé epoptai ou efyroi. À la veille de la
célébration, les adolescents de l'ypodechontan de la ville sainte, les objets qui ne ne fanerwnontan à personne,
sauf par les Ierofantes pour les Mystes, Éleusis
dans Eleysinion, sacrée pour la base de l' Acropole.
- Le premier jour, ceux qui ont été initiés à la d'Éleusis se sont rassemblés à divers petit portique du marché antique à l'invitation des prêtres, d'où le jour appelé agyrmos et prorrisis. Participation au Festival ne présuppose pas la, et c'est pourquoi la célébration attire des gens de partout en Grèce qui ont été attirés à Athènes pour assister aux événements.
- Le second jour était dédié à katharmoys, appelé Mystai Alade, plutôt que la phrase avec laquelle les participants ont été invités. Les mystes avaient en procession à la mer, qui vient d'exagnismo. Teloyntan sous la présidence du roi, l'un des dirigeants de l'ancienne Athènes et quatre autres qui ont été élus par la municipalité d'Athènes. Le processus est très similaire à la cérémonie chrétienne moderne de Theofaneiwn.
- Pour le troisième jour, on connaît. Par Clément d'Alexandrie qui était un jour de jeûne et que soirée a eu lieu déjeuner par ftiagmenoys pains de miel et de sésame. Il n'est pas clair s'il y a des sacrifices ou non, cependant il ont offre poissons [12] et les pains d'orge qui fytrwne Rario Field, qui est devenu le nom de Jane Achtheias. Cependant, cette offre peut être parallèle avec kalatho kathodon, qui a été transféré de bouvillons un panier plein de coquelicots et de grenades, associés respectivement à Déméter et Perséphone .
- Le quatrième jour, appelé Epidayria, étaient complémentaires à ceux qui étaient venus trop tard. Il est dit qu'a été ajouté au nombre initial de jours, où l' Asclépios est venu de prendre part à l'à Épidaure, mais a été retardée d'un jour et les Athéniens ont ajouté un autre jour de la fête pour ne pas offenser lui.
- Le cinquième jour, appelé les feux de jour, dirigé par mystes dadoycho dirigé par pyrsoys dans le Temple de Déméter à Éleusis, où il est resté toute la nuit. La procession l'ecclésiastique errant de la déesse pour trouver sa fille.
- Le sixième jour, appelé iakchon et ieroteri, est la statue de iakchoy, fils de Chthonioy, de Zeus et de Perséphone est décorée de myrtes et avec une main, daylo, poussé vers le bas dans le Temple d'iakchoy avec la voix et des chansons sur la Route de Saintes, reliant les Tuileries avec des Pedio[13].
- Au cours de ce processus à la coutume, « gefyrismoi », chontrokommena drôle, la navigation pont Céphise[14]. Les skwmmata ont été symboliquement et mâles Ïambe Elefsina, avec funny, réussi à Susan de rire, quand la tristesse était sa fille.
- La procession a été un grand nombre de participants et les spectateurs, qui, quand Herodotus, leurs 30 000 arrive le long de la Route de Saintes.
La nuit, les mystes resta à Elefsis, tandis que d'autres, les invités et les non-initiés, diwchnontan par un kiryka.
On croit que les mystes ont bu le bourbier dans les
beaux jours des mystères pour briser l'abstention sacrée de la nourriture et la boisson,
qui se composait principalement de l'eau, l'orge et herbes.
Répétées confidentialité fournie des petit exagnismo nouvelle Eleysiniwn, de Saint-Louis et de voir de la mystagwgo en Telestirion.
Il semble que la cérémonie a été divisée en trois sections :
les événementsqui étaient représentés dans l'histoire de Déméter et de Persefonis
et d'attraper la plus récente de l'enfer et de sa mère pour trouver le
deiknymena, où Ierofantis s'est rendu au sanctuaire et émergés,
peu de temps après avec les objets sacrés des deux centenaires réaliser cette visualisation
à l'initiéet le soi-disant, expressions symboliques de mystwn.
Suivre les cérémonies de degré plus élevés, appelés supervision.
Symbole central de surveillance était un s/n, défendue par l'ierofanti d'adyto de Telestirioy
et therizotan rituels, cette directive même croyants
comme un symbole de la puissance créatrice de notre mère la terre d'anexantlitis.
Elefsis
Coordonnées: ° 38 ″ De 4′ N 02 29 23 ° 32 ' E, 2′, 43 / 38.0414, 23.5453 (Carte)
Elefsis | |
---|---|
Carte | |
Location en Grèce | |
Information | |
Partition géographique | Grèce Grèce |
Région | Attica |
Comté de | Attica |
Municipalité | Commune Eleysinos |
Population officielle | 25.863 (2001) |
H Éleusis est une ville de la préfecture de l' attique, siège de Préfecture d'Attique de l'Ouest
et situé à une distance de 20 km d'Athènes.
Il a une superficie de 19 km² et une population de 25.863 habitants selon le recensement de 2001.
Dans l'Antiquité le Elefsis a été, avec Athènes, Olympie, Delphes et de Délos , les 5 villes sacrées de la Grèce antique ,
et cela a conduit à la Route de Sainte.
H Éleusis est une ville de la préfecture de l' attique, siège de Préfecture d'Attique de l'Ouest
et situé à une distance de 20 km d'Athènes.
Il a une superficie de 19 km² et une population de 25.863 habitants selon le recensement de 2001.
Dans l'Antiquité le Elefsis a été, avec Athènes, Olympie, Delphes et de Délos ,
les 5 villes sacrées de la Grèce antique ,
et cela a conduit à la Route de Sainte. (Route sacrée).
Concernant la vraie nature des événements de Eleysiniwn, il y a deux théories différentes.
Bien que certains chercheurs soutiennent que les prêtres avaient
la vie posthume à travers divers objets sacrés et le commutateur de cycle intense de lumière et d'obscurité,
d'autres considèrent que la force et la « longévité »
de Eleysiniwn du fait que l'expérience pour chaque myimeno était causée peut-être par interne
et une substance psychoenergi contenue dans le kykewn[20]
Il y a des opinions contradictoires sur au cours
de la cérémonie du sanctuaire d'Eleusis
avait lieu de mariage sacré.
Il y a quelques références pour l'accouplement ou symboliques centenaires réaliser
l'Union des Ierofanti et des prwthiereias
des mystères, comme une représentation de la prise de Persefonis de l'enfer
ou l'Union de Jupiter avec Andy.
La cérémonie s'est terminée par une naissance symbolique ou la Renaissance d'un garçon,
fils de Déméter et de Iasiwnaou de Dionyssos-Zagrea, dont Orphée
et Perséphone était le fils de Zeus.
L'ierofantis s'est présenté aux mystes et anafwnoyse:
« potnia koyron Ieron Etéké, Brimw Brimwn ».
Cependant, ces théories peuvent provenir de la confusion des auteurs anciens
entre le culte de la orphique, centenaires atteindre frygikwn local
et dieux grecs, exemple caractéristique theokrasias.
http://el.wikipedia.org/wiki/%CE%88%CE%BB%CE%BB%CE%B7%CE%BD%CE%B5%CF%82
Ονομασίες των Ελλήνων
- Έλληνες
- Ellines -selon la mythologie grecque, le ministre grec, qui était le fils de Deucalion, eut trois fils, Éole, le don et le Xantho. Éole et dorus avec son fils Ksanthou, Achaio et genarches, on iwna trois principaux grec tribus
- qui étaient les Achéenset les Doriens, confondu , Ioniens.
- Le nom de grecs dans les années homériques ne correspondance pas seulement un sexe grecque, qui habitaient dans les environs de la rivière Spercheio, dans l'actuel nome de Phthiotide, qui avait comme chef de file de légendaire Achille. L'étymologie du mot hellène elle-même provoque des discussions jusqu'à maintenant. Le gagnant est que cela vient de Selloys (< i. P-= fwtizw), le sexe grecque d' Épire , qui étaient les prêtres de Dodone et certains d'entre eux ont émigré de Phthie. Par ailleurs associent le nom avec le Ministre grec sur 1962 - qui signifie des hautes terres ou avec mot ellops qui signifie non voisés, afthoggos. Déjà dans le Septième siècle avant J.-C. avait triomphé nom Panellines et fit sécession et étoffé le nom grecs, donc les signes de ponctuation, Ministre grec plutôt Ellin. Plus tard, avec la diffusion du christianisme, le terme que hellène se voulait dire eidwlolatri ou non chrétien, tandis que les habitants de la Grèce était citoyen grec. Lorsque le christianisme a été menacé par ces religions paganistikes, le terme que hellène elle-même a commencé timidement indiquant l'origine est utilisé alors qu'après la déclaration d'indépendance de l'État grec, la désignation a été reprise en tant que représentant. Le nom officiel de la Grèce dans l' Union européenne est Hellas.
- Graikoi - Graikos est plus ancien nom de Ellinas. Dans une inscription du 4e siècle av. J.-C. , affirme que les Grecs (Ellines) qui appelle bons avant Graikoi, tandis Aristote dans les notes « Météorologique » « dans la région de Dodone, en Épire étaient les Selloi , qui ensuite appelé Graikoi maintenant grecs (ellines) ». Certains prétendent que les sexes de l'Italie en raison du contact avec le Continent, leur Graikoys et leur ont demandé si tous les Grecs (Ellines) et autres que le sexe du Graikwn pourrait avoir émigré en Boeotia, où il s'installe et fonda la colonie dans le Sud de l'Italie au VIIIe siècle av. J.-C. (l'autre version est que les habitants de la ville de Boeotia Graia fondent une colonie en Italie et Kimi est le nom de la ville ont été nommés Graikoi). Le natif du nom de genikeysan Italie Graikoi (Latin: Graeci) pour tous les Grecs (Ellines) et ce alors s'étendre à toutes les langues d'Europe occidentale, où les noms des grecs (ellines) et la Grèce (Ellas - Ellada) sont respectivement : l' anglais - grecs et en Grèce, en français - Grecs , Grèce, en allemand - Englisch , Griechenland, italien - Greci et Grecia espagnol Griegos et Grecia. Au fil du temps le mot que graikos a commencé à signifier l'éruption cutanée et tychodiwkti, tandis que dans moyen âge a pris de l'importance de l'ellinorthodoxoy. Un ardent défenseur de ce nom était le Adamántios Koraïs , parce que comme l'a souligné le « ce qu'on appelle l'allumé nos nations de l'Europe ".
- Rwmioi -alors que l' Empire romain , ellinique (grecque) ekchristianizotan, style eux-mêmes après le nom hellène signifiait plus eidwlolatri, les Romains ou Rwmioi, un nom qui avait des implications politiques puisqu'elle a tous les citoyens libres de l'Empire et non leur origine. Il convient de noter que le même état appelé l'Empire romain et byzantin, tandis que Constantinople était initialement nommée Nouvelle Rome. Dans l'ouest de l'Empire et coupé des zones habitées par des ressortissants étrangers, identiques à ce que nous appelons maintenant le grec, acquiert un caractère national. Le nom de Rwmios perd sur Ottoman le glamour de romain "Impérial" et les réalités de la vie sous zygon a le teint de katafertzi, kapatsoy, xypnioy. » Depuis le début du XXe siècle le « Rwmios » a été utilisé par opposition à la physionomie de mimitismo de l'Europe, populaire chrétien byzantin est (mais pas anatolitiki) de Neoellina » [9]. les Romains ont continué à caractériser les Grecs nommés Graikos. Le nom Rwmios est habituellement utilisé en Grèce (Ellas) et plus précisément en Turquie (rhum - Roum).
- Gioynan (Ioniens) (Yunan)- Gioynan (Yunan), qui signifie Ioniens, appeler les peuples de l'Orient Ellinique (grec). Vient du mot Perse Yauna, par le nom Ionia, après que les Perses est entré en contact avec les Grecs (les Ellines) d'Asie mineure et en particulier avec les Ioniens au 6e siècle avant J.-C.et conquis et donc a tous les Grecs (les Ellines) sans exception. Ainsi, l'utilisation de ce nom a été étendue à tous les peuples sous occupation Perse et généralement tout au long de l' East.
- Giaban (Yavan ou Javan)-avec ce nom est connu les peuples de l'est de la Méditerranée ellines(grecs) de l'époque biblique, appelé les gens qui se sont installés dans les Balkans. Le nom de Giaban est la soeur de Gioynan.
- Achéens. Danaoi, Argeioi -avec ces noms de désigner les Ellines par Homère. Les Achéens étaient la première tribu Ellines qui s'installe et dominé en Ellah. Le nom de Argeioi dérive Argos , qui a le capital initial d'achea alors que le nom de Danaoi provient du même sexe qui à l'origine a régné la région près d'Argos.
(Commentaires personnels :
Ellines devient Ellenes parce que les latins ont changé systématiquement le I i en E e !!)
Suite !ELLAS ET ELLINES ???ORIGINES ?? Hellènes ?