Créer un site internet

Prophète Houd, MIDIAN, EPHA, PAYS D'ORIENT, QEDAR, MYDIAN, SABA, NABAYOT,

Prophète Houd

 

Genèse chapitre 25:1

Abraham prit encore une femme, nommée Qetoura.

Elle lui enfanta Zimran, Yoqchan, Medan, Midian, Yichbaq et Chouah. Yoqchan engendra Cheba et Dedan;

les fils de Dedan furent les Achourim, les Letouchim et les Leoumim.

Les fils de Midian furent Epha,

Abraham donna tous ses biens à Isaac.

Quant aux fils de ses concubines, il leur donna des présents, et il les envoya de son vivant loin de son fils Isaac, à l'est,

au pays d'Orient.

Isaïe 60: 6

Des flots de chameaux te couvriront, les dromadaires de Midyan et d'Epha; tous ceux de Saba viendront,

chargés d'or et d'encens, et publiant les louanges de Yahweh.

Tous les troupeaux de Qédar se rassembleront chez toi; les béliers de Nabayot seront à ton service;

ils monteront, pleinement agréés, sur Mon Autel, et Je glorifierai la Maison de Ma Gloire.

Adnan (arabe : عدنان) est traditionnellement l'ancêtre mythique des Arabes du nord (al-Adnani), qui occupaient le Nord de l'arabie, le Hejaz, al-Yamama, et qui entretenaient une rivalité avec les Arabes du sud, descendants de Qahtan. Il serait né en 122 avant l'ère chrétienne[1] et serait le fils de Add, descendant de Nebaioth (en)[2] fils d'Ismaïl[3] fils Abraham (Ibrahim).

Selon la tradition musulmane, la lignée de Muhammad

remonterait à `Adnan via 21 générations. On trouve aussi un hadithMuhammad aurait dit :

« Ne faites pas remonter ma lignée au-delà de `Adnan[4]. ».

http://fr.wikipedia.org/wiki/Quraych

Quraych

Les Quraychites, Qorayshites, Quoriches ou Koraïchites sont les descendants de Quraych (qurayš قريش),

le terme signfie littéralement en arabe « petit requin », un assez lointain ancêtre appelé aussi Fihr.

Ils appartiennent au groupe des Arabes du Nord (ou Arabes arabisés)

qui se disaient descendants d'Adnan et par lui

d'Ismaël. Six générations après Quraysh, Qusay (quṣay ben kilāb قصي بن كلاب) parvient

à les fédérer et à prendre

à la tribu qahtani des Khuza'a - selon la tradition grâce à une alliance matrimoniale - le contrôle de La Mecque,

de ses puits et du pèlerinage autour de la Kaaba.

Qusay est le père de ‘Abd Manaf, grand père de Hâchim, bisaïeul de `Abd al-Muttalib, trisaïeul de `‘Abdullah, ce

dernier étant le père de Muhammad.

Un hadith dit que tous les califes doivent descendre des Quraychites:

« Abd Allah ben `Umar, rapporte: Le Messager de Dieu disait: Le califat restera parmi les Quraych même s'il ne reste que deux personnes sur terre[1] ».

Qahtan (قحطان) (ou Yoktan) est traditionnellement l'ancêtre mythique des « Arabes du sud » (al Arab al Aribah)

ou les arabes indigènes

comme les Sabéens, qui entretenaient une rivalité avec les « Arabes du nord »,

descendants d'Adnan.

Ils se revendiquaient être les descendants du prophète Houd et affirmaient être les représentants

des arabes de « pure souche »[1].

 

Isaïe 60: 6

Des flots de chameaux te couvriront, les dromadaires de Midyan et d'Epha;

tous ceux de Saba viendront, chargés d'or et d'encens,

et publiant les louanges de Yahweh.

Tous les troupeaux de Qédar se rassembleront chez toi; les béliers de Nabayot seront à ton service;

ils monteront, pleinement agréés, sur Mon Autel, et Je glorifierai la Maison de Ma Gloire.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Qahtan

Qahtan (قحطان) (ou Yoktan) est traditionnellement l'ancêtre mythique des « Arabes du sud » (al Arab al Aribah) ou les arabes

indigènes

comme les Sabéens, qui entretenaient une rivalité avec les « Arabes du nord », descendants d'Adnan.

Ils se revendiquaient être les descendants du prophète Houd et affirmaient être les représentants des arabes de « pure souche »[1].

http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Koran_(Traduction_de_Kazimirski)_11

 
 
CHAPITRE XI.

 

HOUD.

Donné à La Mecque. — 123 versets.

 
 
Au nom de Al Ilah clément et miséricordieux
 
  • Voilà une des histoires inconnues. Nous te révélons, ô Muhammed !
  •  
  • Cette histoire, que vous n’avez pas connue jusqu’ici, ni toi ni ton peuple. 
  •  
  • Prends patience ; 
  •  
  • la fin heureuse est pour ceux qui craignent Al Ilah.
  • Nous envoyâmes aux hommes d’Ad leur frère HOUD. Il leur dit : O mon peuple ! Adorez Al Ilah. 
  •  
  • Vous n’avez point d’autre dieu que Lui. Vous inventez vous-mêmes les autres.
  • O mon peuple ! Je ne te demande aucun salaire ; mon salaire est à la charge de celui qui m’a créé. Ne le comprendrez-vous pas ?
  • O mon peuple ! Implorez le pardon de votre Seigneur, et puis revenez à lui, il vous enverra du ciel une pluie abondante[12].
  • Il fera accroître vos forces[13]. Ne vous en allez pas coupables (faites pénitence) !
  •  
  • O Houd ! Répondirent-ils, tu ne viens point accompagné d’un signe évident ;
  •  
  •  nous n’abandonnerons point nos divinités à ta parole seule ; nous ne te croyons pas.
  • Que dirons-nous, si ce n’est qu’un de nos dieux t’a frappé de quelque coup ? Il répondit :
  •  
  • Je prends à témoin Al Ilah, et vous témoignez vous-mêmes que je suis innocent de ce que vous associez d’autres divinités
  • à Al Ilah. Mettez en œuvre vos machinations, et ne me faites point attendre ;
  •  
  • Car j’ai mis ma confiance en Al Ilah, qui est mon Seigneur et le votre. Il n’existe pas une seule créature qu’il ne tienne parle bout de la chevelure. Al Ilah est sur le sentier droit.
  • Si vous tournez le dos, je vous ai fait connaître ma mission.
  •  
  • Al Ilah mettra un autre peuple à votre place, et vous ne pourrez lui (à Al Ilah) causer aucun mal. 
  •  
  • Mon Seigneur contient toute chose dans ses limites.
  • Notre volonté prête à s’accomplir, nous sauvâmes, par l’effet de notre miséricorde, 
  •  
  • Houd et ceux qui ont cru avec lui ; nous les avons sauvés d’un châtiment terrible.
  • Ce peuple d’Ad avait nié la vérité de son Seigneur
  •  
  • il avait  désobéi à ses envoyés et avait suivi les ordres des hommes puissants et rebelles.
  •  
  •  
  • La malédiction les poursuit dans ce monde. Au jour de la résurrection, on leur criera : Ad n’a-t-il point été incrédule envers son Seigneur ?
  •  
  • Nous envoyâmes vers les Thémoudites leur frère Saleh, qui leur dit : 
  •  
  • O mon peuple ! Adorez Al Ilah. N’ayez point d’autres dieux que lui. Il vous a produits de la terre, et Il vous l’a donnée pour 
  •  
  • l’habiter. Implorez son pardon : puis revenez à lui. 
  •  
  • Mon Seigneur est proche, il exauce ceux qui le prient.
  • Ils répondirent : O Saleh ! Tu étais l’objet de nos espérances. Nous défendras-tu maintenant d’adorer ce que nos pères
  •  
  • adoraient ? Nous avons de grands doutes sur le culte auquel tu nous appelles.
  • O mon peuple ! Répondit-il, songez-y. Lorsqu’une volonté manifeste de Al Ilah m’accompagne, lorsque Sa miséricorde est 
  •  
  • descendue sur moi, qui m’assistera contre Lui si je Lui désobéis ? Vous ne sauriez accroitre que ma perte.
  • O mon peuple ! La chamelle que voici est la chamelle de Al Ilah, elle sera un signe pour vous ; laissez-la paître tranquillement sur la 
  • terre de Al Ilah, ne lui faites aucun mal ; un châtiment terrible le suivrait de près.
  • Ils tuèrent la chamelle. Saleh leur dit alors : Attendez trois jours dans vos maisons. C’est une promesse qui ne sera point 
  •  
  • démentie.
  • Et des que notre arrêt fut prononcé, nous sauvâmes, par l’effet de notre miséricorde, 
  •  
  • Saleh et ceux qui avaient cru avec lui, de l’opprobre de ce jour-là. 
  •  
  • Ton Seigneur est le Fort, le Puissant.
  • Une tempête violente surprit les méchants ; le lendemain ils furent trouves gisants morts la face contre terre, dans leurs 
  •  
  • habitations,
  •  
  •  
  • Comme s’ils n’y avaient jamais habité. Thémoud a été incrédule envers son Seigneur. Loin d’ici, Thémoud !

 

Qui sont ces régions ?

 

Voici les noms des fils d'Ismaël, selon les noms de leurs postérités :

premier-né d'Ismaël,

Nebayot, puis  Qédar, Adbeel, Mibsam, Michma, Douma, Massa, Hadad, Téma,

Yetour, Naphich et Quedma.

 

Esaïe 19 : 23-25

"En ce même temps, il y aura une route d'Egypte en Assyrie : Les assyriens iront en Egypte, et les Egyptiens en Assyrie,

et les Egyptiens avec les Assyriens serviront Yahweh Dieu.

En ce même temps, Israël sera le troisième, uni à l'Egypte et à l'Assyrie, et ces pays seront l'objet d'une bénédiction.

Yahweh des armées les bénira, en disant :

Bénis soient l'Egypte, Mon peuple et l'Assyrie, Oeuvre de Mes Mains, et Israël, Mon héritage."

Genèse chapitre 25:1

Abraham prit encore une femme, nommée Qetoura.

Elle lui enfanta Zimran, Yoqchan, Medan, Midian, Yichbaq et Chouah. Yoqchan engendra Cheba et Dedan;

les fils de Dedan furent les Achourim, les Letouchim et les Leoumim. Les fils de Midian furent Epha,

Abraham donna tous ses biens à Isaac. Quant aux fils de ses concubines, il leur donna des présents, et il les envoya de son

vivant loin de son fils Isaac, à l'est, au pays d'Orient.

 

Isaïe 60: 6

Des flots de chameaux te couvriront, les dromadaires de Midyan et d'Epha; tous ceux de Saba viendront, chargés d'or et d'encens,

et publiant les louanges de Yahweh.

Tous les troupeaux de Qédar se rassembleront chez toi; les béliers de Nabayot seront à ton service;

ils monteront, pleinement agréés, sur Mon Autel, et Je glorifierai la Maison de Ma Gloire.

 

Suite Isaïe 60

Oui, les îles mettent en Moi leur attente, et les vaisseaux de Tarchich, les premiers ramèneront tes fils de loi, offrant leur

argent et leur or, au Nom de Yahweh, ton Dieu, et au Saint d'Israël, parce qu'Il t'a glorifié.

Les fils de l'étranger rebâtiront tes remparts, et leurs rois seront à ton service;

car Je t'ai frappée dans Ma Colère, mais dans Ma Bienveillance, J'ai pitié de toi.

La gloire du Liban viendra chez toi, le cyprès, le platane et le mélèze pareillement,

pour orner le lieu de Mon Sanctuaire,

et Je glorifierai le Lieu (où reposent) Mes Pieds.

 

Tarchich

Majdel Tarchich (arabe : مجدل ترشيش) ) est un village libanais situé dans le caza du Metn au Mont-Liban au Liban.

La population est presque exclusivement chrétienne.

La prophétie de Jonas - Cours n°2
Le prophète, Ninive et Tarchich (35 mn)
Claude Riveline, Chercheur en sciences de gestion

Torah et société - Paris, octobre 2010

LIEN Intéressant

http://www.akadem.org/sommaire/themes/limoud/5/10/module_8979.php

 

http://www.google.be/url?sa=t&source=web&cd=2&ved=0CCgQFjAB&url=http%3A%2F%2Fen.wikipedia.org%2Fwiki%2FMidian&ei=QZ31TYqMJoufOtXRsJ8H&usg=AFQjCNEyiJKld_ruDMwV-N0YZNu--2PXSA

http://translate.google.be/translate?hl=fr&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/Midian&ei=QZ31TYqMJoufOtXRsJ8H&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=2&ved=0CDQQ7gEwAQ&prev=/search%3Fq%3Dmidian%26hl%3Dfr%26rlz%3D1R2ASUT_frBE410%26biw%3D1021%26bih%3D694%26prmd%3Divns

Midian

Certains historiens suggèrent que le culte de Yahweh origine en Israël peuples pré du Levant région,

en particulier en Madian. [11]

La Bible hébraïque mentionne que Moïse première rencontre avec Dieu comme un buisson ardent,

en Madian.

An Egyptian inscription also relates the Shasu , who are described as living south of Palestine, with the name YHW. [ 12 ] [ 13 ]

Une inscription égyptienne concerne également l' Shasu , qui sont décrits comme vivant au sud de la Palestine,

avec le nom YHW. [12] [13]

 

Liban

Le Liban, en forme longue la République libanaise[1], en arabe Lubnān, لبنان et Al Jumhuriya Al Lubnaniya, الجمهوريّة اللبنانيّة,

est un État du Proche-Orient (Asie de l'Ouest), en grande partie montagneux[3].

Il partage ses frontières avec deux États, la Syrie au nord et à l'est, sur 376 km et Israël au sud sur 79 km.

Il est bordé par la partie orientale de la mer Méditerranée : le bassin Levantin, à l'ouest, avec 220 km de côtes.

Beyrouth est sa capitale.

La langue officielle est l'arabe. L'emploi de la langue française est conditionné par l'article 11 de la Constitution du Liban du 9

septembre 1943 rédigé comme suit : L'arabe est la langue nationale officielle.

Une loi déterminera les cas où il sera fait usage de la langue française[1]. La monnaie nationale est la livre libanaise.

Du fait de sa composition pluriconfessionnelle, le Liban est doté d'un système politique fondé sur une répartition du pouvoir plus ou moins proportionnelle au poids de chaque communauté religieuse, c'est le confessionnalisme[4].

Le drapeau du Liban est composé de trois bandes horizontales, deux rouges (en haut et en bas),

représentant le sacrifice pour l'indépendance, et une blanche faisant le double d'une bande rouge représentant la neige

qui couvre ses montagnes, la pureté et la paix. Le tout frappé en son centre par un cèdre vert,

symbole par excellence du pays. L’emblème du pays, qui figure sur son drapeau, est le cèdre du Liban, (Cedrus libani Pinacées).

Son bois, imputrescible et très léger,

aurait servi entre autres à la construction du Temple de Yahweh par  Salomon à Jérusalem.

Les Phéniciens s'en servaient également pour la construction de leurs légendaires navires. Ce drapeau tel qu'il est date de 1943[1].

Son Histoire, son système politique et la variété de sa culture, de sa démographie religieuse

et de sa géographie en font un pays à part et original de l'Orient arabe

 Le pays était de ce fait considéré comme le coffre fort du Levant,

et était connu comme « La Suisse du Moyen-Orient », du fait de son poids et de sa puissance financière.

Le Liban a attiré de nombreux touristes, en grande partie parce que Beyrouth, la capitale,

était connue comme le « Paris du Moyen-Orient ».

Liban vient de la racine sémitique Lubnan signifiant blanc ou lait, en référence au manteau neigeux

qui recouvre les montagnes libanaises en hiver, un paysage plus que singulier dans cette région aride

et déficitaire en eau qu'est le Proche-Orient.

Le nom du pays est mentionné dans trois des douze tablettes de l'Épopée de Gilgamesh (2900 av. J.-C.),

dans des textes de la bibliothèque d'Ebla (2400 av. J.-C.), ainsi que 71 fois dans l'Ancien Testament[8],[9].

Sur son territoire, des communautés de confessions diverses ont coexisté dès les premiers siècles de l'ère chrétienne.

Au Proche-Orient, le Liban présentait ainsi un visage original d'un État pluriconfessionnel,

dont le développement fut longtemps assuré par un système bancaire parmi les plus performants au monde,

ce qui lui valut le titre de Suisse du Proche-Orient après la seconde guerre mondiale

Les premières traces de peuplement du Liban remontent à plus de 7000 ans, à 5000 av. J.-C.

Les archéologues ont découvert à Byblos, qui est considérée comme étant « le plus vieux village du monde »[10],

des restes de huttes

préhistoriques, des armes primitives, ainsi que plusieurs jarres d'argile, qui semblent dater des époques Néolithique et

Chalcolithique, durant lesquelles vivaient, sur les bordures de la Méditerranée, plusieurs communautés de pêcheurs[11].

Le Liban fut la mère patrie des Phéniciens, ce peuple marin aventureux,

rameau du peuple Cananéen, qui a dominé pendant des siècles le commerce méditerranéen

et fondé des comptoirs et des cités sur tout le pourtour de la Méditerranée dont Carthage, Palerme, Cadix, Tanger, etc

 

Un système politique original

Le Liban est une république parlementaire (à démocratie confessionnelle), régie par la constitution du 23 mai 1926,

qui a été modifiée six fois depuis, la modification la plus importante

étant les accords de Taef qui réorganisent le partage du pouvoir

entre les différentes communautés religieuses.

La constitution énonce que le Président, obligatoirement chrétien maronite, est élu par le Parlement

(Majlis Al Nuwab ou Chambre des députés) à la majorité des deux-tiers et pour six ans.

Il n'est pas directement rééligible sauf modification de l'article 49 de la Constitution.

Ses pouvoirs ont cependant été réduits au profit du Premier ministre depuis les accords de Taef.

Ce dernier doit être musulman sunnite et est responsable devant les députés ainsi que le président de l'Assemblée nationale,

qui lui doit être musulman chiite.

L'Assemblée nationale comporte 128 sièges, répartis entre chrétiens et musulmans,

qui sont élus au suffrage universel direct selon un système électoral complexe et « segmenté par la religion ».

C'est le confessionalisme.

Il existe un ensemble de traits structurants communs pour les libanais :

l’arabité linguistique, la phénicité, l’autonomie politique et la francophonie.

L’entité libanaise trouve par ailleurs toute sa raison d’être à travers l’expérience

du dialogue des religions,

et peut offrir à l’heure de la mondialisation,

un lieu privilégié de rencontre entre l’Occident et l’Orient,

et de pluralisme culturel constituant un patrimoine commun.

La quête millénaire de l’identité libanaise doit donc transcender des éléments disparates relevant d’un même ensemble cohérent

pour assurer cette fonction d’être un espace de communication, d’autonomie, d’ouverture, de rayonnement, de solidarité

et de «résistance culturelle».

Les Libanais de l'étranger ont, quelle que soit leur confession, davantage conscience des liens qui les unissent

et de leur identité commune.

Byblos

Elle est mentionnée dans la Bible, se référant à la nationalité des bâtisseurs du Temple de Yahweh par Salomon (-970/-931).

Elle se caractérise aujourd'hui par son antique port de pêche, son site romain et son château croisé,

Byblos est une des plus vieilles villes du monde continuellement habitée.

Ce fut également un lieu de rencontre éminemment à la mode pour la jet set du monde entier

 

Byblos aujourd’hui

L'ancienne cité est entourée de murailles d'époque médiévale comportant des fûts de colonnes antiques inclus dans les murs.

Cette méthode de construction est également visible au « Château de la mer » de saint Louis à Sidon (Saïda).

L'intérieur de la cité abrite une église construite par les Génois, une petite mosquée, un souk d'artisanat local, le château croisé,

le site antique et le port.

Le cèdre du Liban dans la culture

drapeau du Liban

Le Cèdre du Liban est mentionné dans la Bible comme utilisé par Salomon pour construire la charpente

du Temple de Yahweh à Jérusalem.

Il est également mentionné dans le Psaume 104:

« Et le cèdre du Liban que Tu plantas » et aussi dans Psaumes 92

verset 13 "Car les justes poussent comme le palmier, ils s'élèvent comme un cèdre du Liban".

Le cèdre, symbole du Liban, est considéré comme un arbre sacré car il est mentionné

dans les trois grandes religions monothéistes.

Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944), qui aimait beaucoup les cèdres et qui par ailleurs avait séjourné au Liban en 1935,

écrivait dans Citadelle :

« La paix est un arbre long à grandir. Il nous faut, de même que le cèdre, aspirer encore

beaucoup de rocaille pour lui fonder son unité ».

Pour les Libanais, le cèdre est un symbole d'espoir, de liberté et de mémoire.

En 1920, un des textes de la proclamation du Grand Liban déclare :

« Un cèdre toujours vert, c'est un peuple toujours jeune en dépit d'un passé cruel.

Quoique opprimé, jamais conquis, le cèdre est son signe de ralliement.

Par l'union, il brisera toutes les attaques ».

Le Liban est honoré dans le Guinness 2008 grâce à un sculpteur libanais, Rudy Rahmé.

Ce dernier donna une seconde vie à un cèdre, âgé de 3 000 ans, mort foudroyé en cachant sur ses troncs des visages, des corps,

des animaux.

 

 Suite !